Plic! Ploc! Plic! Ploc! La pluie torrentielle qui s'abat sur la planẗe fait tant et si bien monter le niveau des ocǎns que les animaux ne savent bientt̥ plus o s̮e rf̌ugier. Ils sont nombreux t̉̊re en q̌uilibre prčaire sur un minuscule sommet m̌erg ľorsqu'un gentil monsieur vole l̉eur secours en les invitant sur son bateau. Deux par deux, en prenant garde n̉e pas čraser pattes et bouts de queues, les bt̊es montent deux par deux b̉ord de l'embarcation o,̮ aprs̈ une certaine přiode d'adaptation, chacune finit par trouver sa place et occuper son temps avec inventivit.̌ La promiscuit ět le manque d'espace se font nǎnmoins de plus en plus p̌rouvants de jour en jour, si bien que la pagaille finit par člater. Heureusement, le ciel finit un jour par s'člairer et un oiseau parti en člaireur annonce aux passagers qu'il a trouv ǔne terre d'accueil. [SDM]